Home

Francais
Accéder au panier

 ::  Accueil  ::  Liste Reportages  :: 
Recherche ok
 ::  Contacts  ::  Aide pour professionnels  :: 



 ::  Imprimer l'image  ::  Reportage complet  :: 
Ajouter l'image au panier


    
Boulogne : Si la plupart des historiens retiennent le XIIIe siècle comme époque de construction du beffroi de Boulogne, certains avancent une origine bien plus ancienne. A défaut de pouvoir donner une date précise, nous nous bornerons à rappeler les caractéristiques de ce symbole des libertés communales qui faillit disparaître à deux reprises. En 1268, lorsque Saint-Louis, mécontent des Boulonnais, en prescrivit la démolition (décommandée l’année suivante) puis en 1793, lorsqu’une pétition présentée au conseil municipal demanda sa destruction au nom de l’égalité et de la lutte contre la féodalité. Heureusement épargné, il servit de support (entre1803 et 1809) pour l’installation du télégraphe de Chappe et jusqu’à l’entre-deux guerres, de point d’observation : Théodore Tourniquet en fut le dernier guetteur. Ce beffroi avait jadis un aspect plus plaisant avec ses quatre tourelles d’angle surmontées de poivrières d’ardoises avec girouettes, et sa flèche de 20mètres de haut coupée par une couronne au sommet de laquelle pointait une girouette aux armes de la ville. Ces éléments ayant disparu au XVIIIe, les Boulonnais se consolent (depuis 1931) avec le dégagement des maisons qui enveloppaient le rez-de-chaussée à présent occupé par un musée lapidaire dédié au passé de la cité. S’il n’a pas l’allure flamboyante de certains autres, il est pourtant l’un des plus anciens témoins de l’histoire de la région. En arrière plan, le port de commerce et le parc éolien éléctrique de Boulogne.
© Stéphane Compoint
20050902-092
Boulogne : Si la plupart des historiens retiennent le XIIIe siècle comme époque de construction du beffroi de Boulogne, certains avancent une origine bien plus ancienne. A défaut de pouvoir donner une date précise, nous nous bornerons à rappeler les caractéristiques de ce symbole des libertés communales qui faillit disparaître à deux reprises. En 1268, lorsque Saint-Louis, mécontent des Boulonnais, en prescrivit la démolition (décommandée l’année suivante) puis en 1793, lorsqu’une pétition présentée au conseil municipal demanda sa destruction au nom de l’égalité et de la lutte contre la féodalité. Heureusement épargné, il servit de support (entre1803 et 1809) pour l’installation du télégraphe de Chappe et jusqu’à l’entre-deux guerres, de point d’observation : Théodore Tourniquet en fut le dernier guetteur. Ce beffroi avait jadis un aspect plus plaisant avec ses quatre tourelles d’angle surmontées de poivrières d’ardoises avec girouettes, et sa flèche de 20mètres de haut coupée par une couronne au sommet de laquelle pointait une girouette aux armes de la ville. Ces éléments ayant disparu au XVIIIe, les Boulonnais se consolent (depuis 1931) avec le dégagement des maisons qui enveloppaient le rez-de-chaussée à présent occupé par un musée lapidaire dédié au passé de la cité. S’il n’a pas l’allure flamboyante de certains autres, il est pourtant l’un des plus anciens témoins de l’histoire de la région. En arrière plan, le port de commerce et le parc éolien éléctrique de Boulogne.

     ::  Commander cette photo  :: 
Nom*   Message :
Email* 
J' ai lu et accepte vos conditions d'utilisations
J'accepte d'être inscrit à votre mailing list pour être informé des nouveautés sur votre site web
Votre commande vient:
de France
de l'étranger
* Champs obligatoires OK
Si vous désirez commander plusieurs photos, envoyez un seul message précisant la référence de chaque photo


:: Stéphane Compoint - 9 rue de la Vistule 75013 Paris France - Tel : +33 6 08 75 75 57 - email : sc@stephanecompoint.com ::
:: Tous droits réservés - www.stephanecompoint.com - Ce site web est réservé à une utilisation professionnelle ::
:: Administration - © 2005 © 2012 - Réalisation: Anakrome & iota ::