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Bergues : Il a connu les mêmes outrages guerriers que la ville fortifiée, dont il est le symbole. Édifié au début du XIIe siècle à l’emplacement d’une ancienne porte de l’enceinte primitive, le beffroi de Bergues a été entièrement détruit en 1383 lors de la conquête de ce chef-lieu de châtellerie par les Français. Incendié en 1558 puis en 1940, il a été dynamité en 1944 par les Allemands, en guise de représailles face à leur défaite annoncée. Ce sera d’ailleurs le seul beffroi détruit durant la Seconde Guerre mondiale.  Reconstruit entre 1958 et 1961 sous la houlette de Paul Gélis, il a conservé les grandes lignes d’une architecture flamande traditionnelle et surtout audacieuse, sans contreforts et avec des tours en encorbellement. La légende dit que l’architecte, au XIVe siècle, serait parti sans se retourner à la fin du chantier, tant l’ouvrage semblait fragile ! Hôtel de ville jusqu’en 1586, puis tour de guet (jusqu’en 1914), abritant aujourd’hui l’office de tourisme, une salle d’exposition, une école de dessin et de musique, le beffroi de Bergues se singularise également par son carillon. Sous sa girouette – un lion des Flandres nommé Nicolas –, 50 cloches distillent tous les quarts d’heure une ritournelle différente : Le Reuzelide (Le Chant du géant), Le Mari complaisant, La Mère Poireau. Le lundi matin et durant les grandes occasions, c’est le carillonneur Olivier Martel –maire-adjoint de la culture-  qui joue des pieds et des poings.
© Stéphane Compoint
20050902-003
Bergues : Il a connu les mêmes outrages guerriers que la ville fortifiée, dont il est le symbole. Édifié au début du XIIe siècle à l’emplacement d’une ancienne porte de l’enceinte primitive, le beffroi de Bergues a été entièrement détruit en 1383 lors de la conquête de ce chef-lieu de châtellerie par les Français. Incendié en 1558 puis en 1940, il a été dynamité en 1944 par les Allemands, en guise de représailles face à leur défaite annoncée. Ce sera d’ailleurs le seul beffroi détruit durant la Seconde Guerre mondiale. Reconstruit entre 1958 et 1961 sous la houlette de Paul Gélis, il a conservé les grandes lignes d’une architecture flamande traditionnelle et surtout audacieuse, sans contreforts et avec des tours en encorbellement. La légende dit que l’architecte, au XIVe siècle, serait parti sans se retourner à la fin du chantier, tant l’ouvrage semblait fragile ! Hôtel de ville jusqu’en 1586, puis tour de guet (jusqu’en 1914), abritant aujourd’hui l’office de tourisme, une salle d’exposition, une école de dessin et de musique, le beffroi de Bergues se singularise également par son carillon. Sous sa girouette – un lion des Flandres nommé Nicolas –, 50 cloches distillent tous les quarts d’heure une ritournelle différente : Le Reuzelide (Le Chant du géant), Le Mari complaisant, La Mère Poireau. Le lundi matin et durant les grandes occasions, c’est le carillonneur Olivier Martel –maire-adjoint de la culture- qui joue des pieds et des poings.

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